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Autisme

L’autisme, une question posée à notre société

L’autisme n’est pas une maladie, Ce n’est pas davantage une maladie mentale ou d’ordre psychologique. C’est une étiquette collée sur quelque chose qui reste mal connu et que l’on désigne comme tel. Ce qui est sûr, c’est qu’il est un état de grande souffrance chez les enfants qui naissent avec des formes d’autisme ou qui le deviennent comme par exemple à la suite d’une vaccination et qui soulève de nombreuses interrogations.

C’est une réalité qu’on retrouve sur l’ensemble de la planète et chez tous types de populations. Sa prévalence est passée d’1 naissance sur 2000 en 1960 à 1 sur 150 de nos jours (1 sur 88 aux Etats-Unis). On évalue à 440 000 le nombre de personne souffrant d’autisme en France et 67 millions dans le monde. Selon le Secrétaire général de développement, « De tous les troubles graves de développement, il est celui qui connaît la plus rapide expansion dans le monde. Cette année 2012, le nombre de cas d’autisme diagnostiqués chez des enfants sera supérieur aux diagnostics de diabète, de cancer et de SIDA additionnés » Une réalité qui fait peur tant les chiffres dans le monde suivent une courbe vertigineuse

L’autisme désigne un ou des troubles envahissants du développement (TED) affectant la personne dans trois domaines principaux

  • Anomalie de la communication verbale et/ou non verbale : difficulté de langage et de décodage, de l’écholalie…
  • Anomalies des interactions sociales. Celles-ci seraient liés à des atteintes neuro-sensorielles. La personne souffrant d’autisme veut interagir mais ne peut pas comme il le souhaiterait
  • Le dysfonctionnement des 5 sens provoque des comportements bizarres, restreints et stéréotypés de survie chez ces personnes. Les comportements surprenants sont reliés à leurs atteintes neurologiques et chimiques

Les dernières recherchent ciblent comme causes probables  :

  • Un problème génétique. Des gènes provoqueraient un dysfonctionnement du système nerveux central
  • Un désordre dans le métabolisme
  • Une atteinte virale
  • Des facteurs environnementaux
  • Un dysfonctionnement du système immunitaire
  • Une intoxication aux métaux lourds

Les chercheurs constatent régulièrement comme manifestation clinique :

  • Désordre du système gastro-intestinal
  • Constipation et diarrhée
  • Parasites intestinaux et candidas albicans
  • Intolérance et allergies alimentaires
  • Déficiences enzymatiques et vitaminiques

J’ajouterai personnellement

  • Désordre neuro-toxique ou neuro-immune
  • Réactivités enzymatiques, vitaminiques et minérales du corps avant de parler de déficiences
  • Réactivités du système nerveux et des neurotransmetteurs
  • La non-intégration de certains réflexes archaïques
  • Une hypersensibiité ou hyposensibilité de certains sens (vue, ouïe, toucher, goût, odorat)
  • Des mémoires personnelles de la vie intra-utérine, de la naissance et des mémoires psychogénéalogiques (avortement, fausse couche, décès, secrets de famille…)

Y a-t-il une solution ?

Non il n’y a pas une seule réponse unique, quelle que soit la méthode

  • Penser que tout est une question environnementale est erroné. Améliorer la qualité de vie, oui,
  • Penser que tout est question d’alimentation, non. Ajuster l’alimentation, oui et vous noterez de véritables changements
  • Penser que ce n’est qu’un problème de comportement et de communication, non. Améliorer la communication, certainement.
  • Penser que c’est une fatalité génétique à laquelle on ne peut rien, non
  • Penser que c’est à cause d’un secret familial, ou d’une mémoire utérine seulement, non. Libérer des mémoires douloureuses ou des secrets : oui
  • Penser que ce n’est qu’une question de réflexes archaïques seulement. Non. Aider à intégrer les réflexes archaïques, oui et vous constaterez d’énormes progrès

Oui si nous mettons en œuvre des solutions adaptées à chacun. Néanmoins tous ces éléments ou dysfonctionnements sont autant de paramètres sur lesquels il est possible d’agir. Il convient de les mettre en œuvre, sans négliger aucun aspect. Il n’y a pas une réponse ou une méthode unique. Il convient d’élargir la palette des outils, sans en négliger aucun. C’est tout le sens du travail d’Hypersens qui se situe en complémentarité d’autres méthodes comportementales ou autres

Oui si nous prenons le temps d’entendre ce que ces enfants nous disent

Ce que nous disent ces enfants ?

  • « En arrivant au monde, j’ai ressenti une grande angoisse existentielle qui du jour où je naquis a enseveli ma vie toute entière de son linceul…Vous n’avez pas idée à quel point votre monde nous terrorise tans sa noirceur nous saute aux yeux … Nous sommes effrayés de débarquer dans votre monde où la pesanteur règne en maître…Nous sommes contraints dès le plus jeune âge à nous isoler, à battre en retraite au plus profond de nous-mêmes, rompant ainsi tout contact avec la surface… »
  • « Je ressens en plein cœur la souffrance, la misère des personnes que je croise. Le plus dur, c’est de n’apercevoir que des visages fermés, des yeux méchants ou indifférents. Cela me fait souffrir énormément »
  • « Je ne suis bien que lorsque je suis dans ma cabane. C’est mon espace privé et là je peux parler aux insectes, aux plantes…Personne ne me dérange… »
  • « J’envoie des messages à mon entourage, mais ils sont fermés, ils ne comprennent pas. Ils s’acharnent à me faire entrer dans les cases. Plus ils m’obligent, plus ils m’enferment »
  • « Lorsque je suis violente et que je pète un plomb, ils ne comprennent pas que je crie à l’aide, à l’aide…Je suis sous tension permanente »

Ces enfants sont porteurs d’un message : Ils sont des êtres d’une extrême sensibilité, ayant une grande conscience de l’univers, bien au-delà de la simple terre. Notre monde va mal, témoins toutes les crises, les conflits qui éclatent tous les jours aux quatre coins de la planète. Ils sont venus sur terre pour aider leurs parents à évoluer, pour aider le monde à évoluer

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