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Réflexes archaiques et enfantins

Les mouvements qu’accomplit le bébé dans le ventre de sa maman sont essentiels à sa construction d’homme ou de femme

Les réflexes archaïques ou primitifs sont comme des échafaudages qui permettent à l’enfant de franchir avec succès les différentes étapes de son développement neurosensoriel et moteur. Même si chaque être humain est unique, son développement physique et cérébral est le résultat d’étapes successives de croissance identiques pour tous. Ce sont les mouvements « réflexes archaïques » ou encore appelés « réflexes de survie » Un développement normal est dépendant de la construction et de l’inhibition de ces réflexes.

Ainsi lorsqu’un bébé naît, ses réactions aux stimuli sont de l’ordre de l’instinct, déclenchés par son cerveau dit archaïque. Ils l’aident à s’adapter à son nouvel environnement, comme par exemple le réflexe de succion, qui va lui permettre de téter et de se nourrir.

Après avoir aidé les enfants à survivre et à apprendre les bases de l’apprentissage, ces réflexes sont destinés à être inhibés ou transformés par le cortex de son cerveau.

Si les réflexes sont bien intégrés, l’enfant va développer au mieux tous ses potentiels d’apprentissage, allant de se mettre à quatre pattes, de tenir sa tête droite, de se mettre sur ses deux jambes, de marcher, d’apprendre à parler, à lire, à écrire…

Sinon, cela va créer des perturbations et l’enfant, le jeune ou l’adulte va fonctionner en mode de survie et aura du mal à développer ses potentiels

Une définition

Les réflexes archaïques ou primitifs sont des mouvements automatiques, répétitifs, répondant à des informations sensorielles reçues par des neurones, des récepteurs sensoriels du système nerveux. Ils font partie de l’équipement de base du bébé pour se développer. Ils sont incontrôlables et observables pendant les premiers mois de la vie, par ex. : le réflexe de succion ou de marche automatique

Les réflexes ont un cycle de vie

La plupart des réflexes apparaissent pendant la vie fœtale dès les premiers mois.

  • Certains sont activés par les contractions lors de l’accouchement ou juste après.
  • Plusieurs arrivent en même temps
  • D’autres arrivent quand un autre s’arrête
  • Ils s’aident l’un l’autre à arriver et à intégrer le suivant
  • Certains travaillent aussi seuls par eux mêmes Les réflexes agissent comme des poupées gigognes

Les réflexes apparaissent, émergent, favorisent ce que le corps et le cerveau ont besoin de développer puis disparaissent. L’enfant n’a plus besoin du réflexe pour atteindre le résultat.

Par exemple, le réflexe de succion apparaît dans le ventre lors de la 24°semaine. Puis il se développe, il devrait être au maximum au moment de la naissance, ce qui va donner la force à l’enfant de téter le lait maternel, sans réfléchir. C’est un automatisme. Quand le réflexe sera intégré l’enfant puis l’adulte pourra sucer quand il le voudra. Le réflexe sera intégré et la personne choisira

Les réflexes et la naissance

A la naissance les mouvements involontaires sont nombreux Certains sont provoqués par un influx sensitif (par exemple un toucher de la lèvre provoque une succion, ou un bruit provoque un mouvement involontaire) D’autres sont provoqués par un mouvement de la tête. Quand la tête tourne la partie opposée du corps se plie, le bras se tend. Quand la tête tombe, les jambes se tendent, les bras se plient.

Les médecins recherchent ces comportements involontaires en testant quelques réflexes (succion, recherche, Grasping, Babinsky, Moro, redressement de la tête, marche automatique…à la naissance) et vérifient l’intégrité neurologique du nouveau né. S’ils ne sont pas présents, un parcours en neurologie peut être proposé.

A quoi servent les réflexes  ?

Les réflexes sont indispensables au bon développement du nourrisson, à son adaptation et sont essentiels à sa survie, à sa protection.

Ils aident le nouveau-né à :

  • venir au monde : les réflexes spinaux, le réflexe tonique asymétrique du cou aident au passage de la filière pelvienne.
  • survivre et satisfaire ses besoins vitaux : réflexe de succion (téter) et de recherche (du sein).
  • myéliniser les gaines neurales jusqu’au cortex par la répétition de ces mouvements.
  • se coordonner : réflexe tonique et asymétrique du cou, réflexe de préhension.
  • s’équilibrer et faire face à la gravité : réflexes posturaux, réflexe amphibien.

Pourquoi les réflexes existent-ils ?

L’apprentissage naturel et sain utilise les potentiels de programmes créés par la nature, l’un de ces programmes s’inscrit dans les mouvements primitifs qui se développent à un moment précis. Dans la première année de l’enfant, à mesure que le système nerveux se développe, les réflexes primitifs sont transformés naturellement, contrôlés par le cortex et s’intègrent dans son schéma corporel global afin d’ancrer une base solide pour le développement de la motricité volontaire (vélo, écriture, lecture, rattrapage de balle, etc.) et du système d’apprentissage en général.

Les réflexes archaïques sont la source même, l’origine du développement psychomoteur et leur intégration la base d’un développement supérieur. Le développement moteur assure l’ensemble du développement psychologique. Ils sont importants pour une bonne condition physique, pour le développement intellectuel, émotionnel et le développement de la personnalité humaine.

Les réflexes archaïques et les sens

A la naissance, les sens et les réflexes sont inextricablement liés. Le nouveau-né répond instinctivement aux sensations internes et externes. Au fur et à mesure que l’enfant grandit, normalement l’activité réflexe se raffine et se transforme de façon à ce que chaque sens puisse se développer en acuité et en efficacité tout en s’intégrant aux autres pour donner une image complète de l’environnement. Si l’un des sens est trop développé alors qu’un autre ne l’est pas assez, il en résulte un déséquilibre dans l’information recueillie sur une expérience donnée

Les réflexes sont connectés aux organes des sens : l’enfant est tout ouïe et regarde partout et bouge beaucoup. Chaque réflexe procure à l’enfant des expériences kinesthésiques, tactiles et vestibulaires. Ces expériences sensorielles au jour le jour l’aident à sentir son corps, chaque partie de son corps, sa tête lourde, ses bras, ses jambes, les liens qui peuvent s’établir entre elles...

Un enfant en bonne santé ne naît pas complètement passif. Il possède des capacités utiles à sa survie, telles que la respiration et les battements du cœur. Les organes des sens et les réflexes soutiennent la croissance du bébé. Des connexions permettent son développement. En plus de la nourriture, l’enfant a besoin de chaleur, de contacts corporels, de sourires, d’amour, de stimulation. Il a besoin qu’on s’occupe de lui et entre peu à peu en relation avec l’adulte. Toutes ces expériences se mêlent et stimule peu à peu son développement nerveux qui ne sera achevé qu’à l’âge de 3 ou 4 ans seulement.

Chez l’adulte, le bon fonctionnement des réflexes primitifs et posturaux est indispensable pour développer la confiance en soi, s’équilibrer, se coordonner, communiquer, apprendre, et pour son bien-être.

Les phases du développement moteur

Chaque niveau d’intégration d’un réflexe inclut le précédent, créant une complexité motrice et comportementale de plus en plus grande permettant la maturité du système nerveux qui se développe et se déploie par étapes successives identiques pour tous les enfants, pour devenir plus complexe avec l’âge.

Normalement ces réflexes sont intégrés par le cortex pendant la première année de l’enfant. Sinon, ils deviennent persistants et parasitent l’enfant et plus tard l’adulte…. Cela pourra lui jouer des mauvais tours dans différents domaines : apprentissage difficile, écriture, écriture, manque de coordination, hyperactivité, allergies, intolérances, hypersensibilités…

Si ces réflexes ne s’intègrent pas, ils deviennent hyperactifs (persistants) et vont paralyser l’enfant dans son développement, ne lui permettant pas de mettre en place des comportements de coordination volontaires et de motricité fine. Des compensations et d’autres problèmes peuvent en découler (crispation à l’écriture, hyperactivité, manque de coordination...)

Si ces réflexes ne sont pas développés à temps, il peut en résulter des difficultés. Ils vont être hypoactifs et l’enfant va manquer de fondations solides pour certaines activités (mauvaise prise du stylo, manque d’équilibre, problème de mémoire ou de compétences spatiales, maths)

Le dépistage de réflexes hypo ou hyper actifs et leur réintégration dans le système corporel global sont essentiels pour lever les obstacles aux difficultés d’apprentissage

Du bon équilibre des réflexes

Des difficultés arrivent quand un réflexe n’est pas prêt au bon moment. Des tensions apparaissent alors.

Par exemple si le réflexe de succion n’est pas bien développé au moment de la naissance, le bébé pourra avoir des difficultés de succion, la maman se sentira alors incompétente, aura peur ou se mettra en colère, ressentira plein d’émotions… Tout cela dépendra aussi du soutien de son compagnon, de sa famille, de la sage-femme… Comme bébé et maman sont très proches, l’enfant va ressentir ce stress et cela peut porter à conséquences… Si le réflexe n’est pas bien intégré, le bébé n’apprend pas bien à téter, ne s’approprie pas bien sa langue. Les gens qui n’intègrent pas bien ce réflexe gardent un mauvais réflexe de succion, ont des difficultés à saliver, à digérer…

Quand le bébé est nourri au sein, il un bras, un œil et une oreille au repos. Il découvre la vie avec l’autre œil, l’autre oreille, l’autre main. Et ce côté s’enrichit. Puis la maman va changer de sein, ce sont l’autre œil, l’autre bras, l’autre oreille qui vont se développer et s’enrichir. A chaque côté d’allaitement, le bébé utilise une moitié de son corps. C’est un temps d’exercice de qualité, de développement d’une partie du corps.

Si le bébé a une mauvaise succion, le parent va lui donner le biberon, et le biberon sera toujours donné du côté préféré du parent. L’intégration des deux hémisphères du cerveau se fera plus difficilement.

Une bonne succion permet un meilleur développement des réflexes asymétriques du cou. Le réflexe de succion prépare le langage.

Si le réflexe de Galant arrive trop tôt, il peut provoquer une naissance prématurée ou une naissance trop rapide. S’il arrive trop tard, il peut provoquer une naissance trop tardive ou trop lente et donc une césarienne.

Un réflexe qui ne se développe pas vraiment, ou qui dure trop longtemps peut aussi provoquer des problèmes.

  • Par exemple si le réflexe de Moro reste actif trop longtemps, l’enfant aura des problèmes de concentration voire de glycémie. Rester tranquille est impossible. Si le réflexe reste trop actif, la personne devenue adulte continuera à sursauter de manière anormale.
  • Si le réflexe palmaire subsiste, l’enfant peut avoir du mal à attraper une balle, à ouvrir les mains, à tenir ciseaux et stylos…
  • Si le réflexe de Galant n’est pas intégré, l’enfant ne peut pas rester tranquille, il peut faire de l’énurésie tardivement
  • Si le réflexe tonique labyrinthique n’est pas bien acquis, l’enfant n’a pas bonne conscience du corps, Il ne contrôle pas son corps. Ce sera difficile de noter les choses au tableau, la lecture sera difficile.
  • Si le même réflexe n’est pas bien intégré, l’enfant est lent, pose beaucoup de questions.
  • Si le réflexe tonique asymétrique n’est pas bien intégré, la natation, l’écriture, la distinction droite gauche, la prise de décision restent difficiles. L’enfant a toujours besoin de l’approbation d’un adulte. Il ne s’autorise pas facilement

La mauvaise intégration du réflexe tonique symétrique du cou peut expliquer une mauvaise capacité à lire, une mauvaise écriture, une mauvaise coordination. Les enseignants diront que l’enfant manque d’attention, qu’il est hyperactif, qu’il pose des questions tout le temps, qu’il du mal à écouter…

Des signes qui ne trompent pas

Si votre enfant ou vous même présentez quelques-uns des troubles listés ci-dessous au point d’en être gêné, on peut alors penser que certains des réflexes ne sont pas intégrés

  • Manque de concentration, se laisse distraire facilement
  • Incapable de se concentrer sur une voix si des bruits de fonds existent
  • Cherche des excuses pour pouvoir bouger tout le temps
  • Ne tient pas en place debout, se tient mal assis, se tenant sur les reins, plus que sur les fesses
  • Enroule ses jambes autour des pieds de sa chaise
  • Maladroit, se cogne partout, n’a pas le sens de l’équilibre
  • Réagit de manière incontrôlée
  • Trébuche et tombe fréquemment
  • Frappe les talons lorsqu’il marche ou marche sur la pointe des pieds
  • Touche à tout
  • Ses semelles sont inégalement usées
  • Aime se balancer sur une chaise
  • Envahit l’espace des autres
  • Agit impulsivement
  • Troubles de l’attention
  • Hyperactivité
  • Grande fatigue après la classe
  • Mauvaise coordination
  • Troubles du comportement nerveux, vulnérable, agressif, en retrait, insensible à la punition
  • A peur de tout, a des phobies qui le gênent profondément
  • Est très angoissé, voir a les mains moites
  • Tensions dans le corps, dans le visage
  • Mâchouille ses vêtements, stylos...
  • Bave, suce son pouce tardivement, présente des tics, mange très salement
  • A souvent les poings serrés
  • Serre souvent les mâchoires, voire les dents
  • Tient son crayon très serré et avec force
  • Ouvre la bouche pour attraper une balle, découper avec des ciseaux, etc
  • Roule en vélo ou nage avec grande difficulté
  • Gauche au jeu de ballon
  • Evite les activités physiques
  • Ne peut pas faire des exercices simples de coordination bilatérale ou est en retard dans son développement (ex. sauter à la corde, faire le pantin)
  • A eu beaucoup de difficultés à faire de la bicyclette
  • Ne peut pas faire des roulades
  • A du mal à grimper à l’échelle ou à prendre l’escalator en montant ou descendant
  • Ses parents ont mis leur fille dans un trotteur
  • Il n’a jamais rampé pas et il n’a pas fait de quatre pattes, grillant ainsi certaines étapes…
  • A du mal à s’organiser
  • Est toujours dans l’impatience : à peine une activité commencée, il demande tout de suite quand c’est fini.
  • A du mal à se projeter dans le temps ; il veut tout et tout de suite
  • A du mal à s’orienter
  • Rencontre des problèmes de latéralisation
  • A besoin de lire en suivant les mots avec le doigt
  • A une faible compréhension en lecture
  • N’aime pas lire
  • N’aime pas écrire
  • Présente un travail avec beaucoup de ratures
  • A une écriture très irrégulière
  • Ecrit en montant sur le côté
  • Ecrit en étant complètement renversé sur son cahier, ou sur le côté
  • Recopie les mots du tableau avec beaucoup d’erreur
  • Confond des lettres : b et d, p et q…
  • Connait des signes de dyslexie, de dyspraxie, de dyscalculie, de dysorthographie…
  • Manifeste un comportement et une qualité de travail contradictoires
  • Est plus intelligent que ne le reflètent ses performances scolaires
  • Présente des problèmes de graphisme, de copie
  • Semble ne pas bien voir ou fait répéter souvent sans être malentendant ou mal voyant
  • A du mal avec les activités qui demande une motricité fine
  • Ne sait toujours pas, malgré son âge, à nouer seul ses lacets ou à mettre les boutons dans les boutonnières de ses vêtements
  • Hypersensible, ne supporte pas la lumière vive, les odeurs fortes
  • Il est très chatouilleux, ne supporte pas d’être touché
  • Est dérangé par les étiquettes des habits
  • Sursaute au moindre bruit
  • Est hypersensible sur le plan émotionnel
  • Déteste les imprévus ou les changements dans les habitudes
  • Semble détaché du réel, comme toujours ailleurs
  • Pleure tout le temps voire hurle sans raison
  • Manifeste un comportement irrationnel, agressif
  • Est facilement frustré
  • Perd facilement ses vêtements (à l’école, au vestiaire…)
  • Connaît des perturbations digestives, signe de la mauvaise santé de sa flore intestinale
  • Ne digère pas très bien
  • Le tout petit
  • Est toujours malade, ses selles ne sont pas bien formées
  • Ne bouge pas beaucoup
  • N’aime pas qu’on le sollicite
  • A du mal à suivre des yeux
  • Les jeux en couleur ne l’attirent pas
  • A l’air absent,
  • Ne roule pas sur le côté
  • Ne supporte pas être sur le dos
  • Il ne bouge pas ou presque pas à 16 mois
  • Son développement moteur est très lent
  • Ses yeux sont enfoncés dans les orbites

Ces signes laissent à penser à la présence d’un retard dans le développement moteur et sensoriel non pathologique de l’enfant, sans rapport avec le niveau d’intelligence et qu’un examen des réflexes profonds ainsi que leur éventuelle intégration sont souhaitables. Ils maintiennent la personne dans le système reptilien, au niveau du tronc cérébral. La personne réagit au lieu d’agir, de penser, de construire…

Il est évident que les enfants vivant des handicaps, les enfants souffrant d’autisme…sont tout particulièrement concernés

Si vous ressentez que quelque chose ne va pas chez votre enfant, il est bon de consulter des professionnels de la santé et aussi des personnes qui pratiquent l’intégration des réflexes archaïques. Dès qu’un travail est mis en œuvre, des progrès manifestes sont constatés

Les réflexes archaïques ne concernent-ils que les enfants ?

Bien sûr que non, elle concerne tout individu, quel que soit l’âge, même si l’adulte a souvent mis en place des stratégies de compensation, des masques derrière lesquels il se cache.

  • Je manque de confiance
  • J’ai l’impression de passer à côté de ma vie. Je survis
  • Je suis toujours sur le qui-vive
  • J’ai régulièrement des attaques paniques ce qui m’empêche de conduire
  • Je rougis dès qu’on me regarde
  • Je pleure à tout moment
  • Je suis complètement déprimée
  • Je réagis à la moindre remarque...

Comment permettre d’intégrer les réflexes ?

Des mouvements naturels doux qui rappellent les mouvements du bébé, des pressions isométriques légères et des activités de rééducations kinesthésiques simples, des jeux d’équilibre, des ballons, des sacs de riz, mais aussi le souffle conscient…vont réactiver la mémoire sensori-motrice de la personne et favoriser ainsi la bonne intégration des réflexes dans son schéma corporel favorisant ainsi le plein développement de ses capacités cognitives, émotionnelles, sociales et motrices.

Pourquoi certains réflexes archaïques ne se sont pas intégrés

Cela peut être causé par le stress de la mère

Pendant la grossesse  :

  • Prise de conscience d’une grossesse non désirée
  • Abandon du papa
  • Tension dans le couple hésitant à garder l’enfant
  • Obligation de rester allongée pour ne pas perdre le bébé
  • Utilisation d’une amniosynthèse
  • Décès d’un parent proche
  • Utilisation d’un médicament pour éviter des contractions trop tôt…
  • Perte d’un jumeau

Lors de l’accouchement :

  • Souffrance fœtale
  • Accouchement par le siège
  • Déclenchement par les injections d’ocytocyne pour accélérer les contractions
  • Utilisation d’une péridurale, césarienne, des forceps, d’une ventouse…

Il faudrait ajouter d’autres causes

  • Notamment les mémoires psycho-généalogiques concernant les ascendants de la famille (deuils non faits, fidélités inconscientes, secrets de famille (incestes, viols, suicides, abandons...)
  • Mais aussi les drames vécus dans la petite enfance comme le décès de personnes proches, les séparations suite à des hospitalisations, les maladies, les interventions chirurgicales, les difficultés d’alimentation, mais aussi les vaccinations, les traitements médicamenteux...

Un réflexe intégré peut-il ne plus l’être ?

Tout à fait. Un réflexe intégré peut être réactivé à la suite d’un choc émotionnel, un traumatisme, une maladie, un accident, un stress chronique, des toxines environnementales, des complications vaccinales, etc. Il est alors tout à fait possible de rétablir la situation pour que le réflexe soit de nouveau intégré

Est-ce qu’il arrive qu’un réflexe n’arrive pas à s’intégrer par les mouvements seulement ?

Oui cela peut arriver dans des situations plus complexes C’est souvent le signe d’une flore intestinale très perturbée, d’une biochimie en désordre (carences ou réactivités de certains oligo éléments, de certaines vitamines… C’est ici que la recherche complémentaire et les réponses apportées par Hypersens prennent leur pleine mesure. Les réflexes y sont pris en compte de manière intégrée

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