L’état a t-il un rôle à jouer dans le bonheur de ses citoyens électeurs ? Qu’a-t-il à y gagner ? Renaud Gaucher nous explique sa "course au bonheur" à travers la recherche académique, et l’impact qu’il projette dans un avenir où nos structures de gouvernance recevraient l’impératif de bonheur comme un indicateur de performance collective
A noter tout spécialement les exemples donnés :
La forme de justice qui met au centre du processus judiciaire la réparation émotionnelle de la victime. Cela peut aller jusqu’à la rencontre entre la victime et le coupable, où pardon et empathie sont au coeur du processus
Et si l’école avait pour seul but du bonheur des enfants ici et maintenant !
un risque à prendre, où le bonheur est au centre et où tout le monde a à gagner